Informations Générales
• Nom : Gûeldryn (Prononcez Gou-èl-dri-n (Accent anglais))
• Nom de famille : PaleFate
• Rang ou titre : Ancien gardien de la forêt ou le Père des Druides de la Furie
• Âge : 4673 ans, soit né en l'an -908 de l'Âge des Anciens
• Sexe : Masculin
• Poids : 48 lbs
• Grandeur : 6.4 pieds
• Race : Elfe du Savoir (Sang de la branche des Elfes Crépusculaire)
• Classe ou métier : Druide de la Furie et Rôdeur
• Éléments : Pour Gûeldryn, il peut contrôler l'essence de la Nature, de la Vie, du Vent et de la Terre. Du côté de Dèranor, il peut contrôler l'essence de la Mort, des Ténèbres, Démoniaque, Nature et Rêve.
• Alignement : Neutre Pure
• Croyances : Il vénère les dragons, les animaux, les esprits ainsi que Haelista la Réfléchie, Déesse de la Sagesse
• Langage de naissance : Vernien
• Langages secondaires apprit totalement : Elfique, Commun, Arniar, Draconique, Spectrien, Ressariar, Urkien et le Murnien
• Langages secondaires connus : Démonique
• Compagnons : Le dragon noir Dèranor, qui partage son corps.
Informations secondaires
• Apparence physique : Comme n'importe quel elfe, il ressemble fortement à un humain de grande taille. Ces longues oreilles pointus, sa peau de teinte beige et ces cheveux semi-long de couleur Blanche nous laisse croire qu'il est un Elfe Crépusculaire, ce qu'il aurait été, s'il n'aurait pas vu le jour au temps des Anciens, la période où tout les elfes étaient appelées Elfes du Savoir. Son corps est fin et élancé mais aussi vieux que les plus vieux dragons qui toujours vivants. Malgré tout, il semble être dans le début de la vingtaine et son état physique et mental n'est pas à sous-estimer. Aussi agile qu'une panthère, aussi rapide qu'un cheval sauvage, aussi sage et expérimenté qu'un dracosire, il n'a jamais cessé de s'entrainer depuis l'arrivée de la Légion de l'Effroi, ce qui résulte à la formation d'un légendaire combattant au regard profond et discipliné. Ce regard, souvent dissimuler par ses cheveux, est perçant. Vaillant guerrier de la forêt, il porte bien cette couleur de ses yeux d'un argent pur. Cette couleur bien curieuse pour un elfe crépusculaire apporte le questionnement de ceux qui connaissent bien cette race.
Ne portant pas l'habit d'un druide, les gens qui le connaissent mal ne peuvent deviner qu'il pratique cette vocation a moins de ressentir son pouvoir. Par contre, notre vieil Elfe du Savoir porte bel et bien l'habit d'un rôdeur afin de se dissimuler dans la nature et de mieux se déplacer ainsi que de grimper aux arbres. Cette tenu comprend une tunique légère de couleur brune, une cape à capuchon qui trainent au sol de couleur noire, un grand arc elfique, d'un vieux carquois portant plusieurs flèches anciennes, de hautes bottes de cuirs foncés, des gants de cuirs foncés qui laissent ses doigts nus ainsi que des culottes noires de tissu elfique. Sous tout cela, il porte une épée longue, qui serait considérer comme une épée à deux-mains pour un humain ainsi qu'un petit sac suspendu de sa ceinture. Dans chacune de ses bottes, il cache une dague.
À noter que plus il ressent d'émotions fortes, plus il y a de transformations physiques qui se manifestera qui finiront par changer son corps entier en celui du dragon noir Dèranor si cela devient trop sévère.
• Personnalité et attitude : Gûeldryn est très âgé et de ces années, il a acquit de la sagesse et de l’expérience. Image modèle de l’elfe guerrier, il prend chaque situation en considération avant de faire un faux pas. Il n’est pas le plus intelligent mais, il a une bonne mémoire et peut évoquer plusieurs souvenirs du passé. Il a parcouru des Terres d’Arania au grand complet à plusieurs reprises et a rencontrer chaque race dans ses aventures, soit en tant qu’ennemi, en tant qu’ami, allié ou simplement en tant qu’une connaissance neutre. Il a tiré de tout cela : sagesse et la bonne habitude de penser avant d’agir. Il tente de ne pas juger avant de connaitre mais dans le cas de certaines races, c’est plutôt difficile. Noble, il ne trahit personne et ne cause aucun malheur à ceux qui ne le méritent pas. Par contre, il ne se mêle que rarement des affaires des autres. Il préfère observer qu’agir. Tel un juge, il est neutre et ne se range que d’un côté s’il le doit ou s’il juge la situation trop sévère pour ne rien faire. Gardien éternel des forêts, c’est ainsi qu’on le surnomme car il observe et veille sur la nature. En tant que druide, c’est dans sa nature de révérer la nature plutôt qu’un être humanoïde ou autres êtres et items non-naturels. Pour lui, un arbre vaut cinq humains. La seule et unique race à égalisé la nature est celle des dragons, grands gardiens du monde. Tous à l’exception de la Volée Noire, qu’il considère impure, altérée et contre nature.
Mais bon, Gûeldryn est toujours un bon-vivant et adore rencontrer des gens nouveaux afin d’apprendre et d’expérimenter. En tant que voyageurs, il a apprit à prendre une petite bière avec les humains, a se laisser aller avec Nergaziens, a la vie rudimentaire avec les Koraziens, a comprendre le shamanisme avec les Ataj’Azars, a guérir des plaies à l’aide d’herbes médicaux avec les Elfes Lunaires et autres. Il connait les modes de vies de toutes les créatures d’Arania et est très ouvert d’esprit. Ce vieil elfe est autant solitaire qu’il est social car il peut passer des jours sans voir personne et être en paix avec lui-même ou passé ces jours en compagnie de gens.
Côté amitié, il n’a aucun être qui lui est assez proche pour qu’il les considère autres qu’une connaissance, un allié ou ressource humaine pour de l’information. Il avait beaucoup d’amis avant l’invasion de la Légion mais ne c’est jamais rapprocher autant que quelqu’un après cet évènement, où il perdit tout, y compris lui-même.
L’amour, bref, jamais expérimenté. On peut définitivement dire que notre vieux gardien à la sagesse immense n’est encore qu’un jeune enfant en cette matière. En faite, il ne sait jamais encore questionner sur son orientation sexuelle. Il se dit asexué puisque personne ne la jamais attiré.
Par contre, sont coté sombre est dénommé Dèranor. Cet esprit est maléfique, empli de folie et complètement loufoque. Dèranor prend plaisir à torturer et à tuer les gens. Il se fout royalement des richesses, des biens matériels et sociaux. Il prend aussi un énorme plaisir à manipuler Gûeldryn et le mener à la folie, où il perd contrôle de son corps, ce qui permet à Dèranor de prendre contrôle. Et c’est dans ce moment qu’il devra fuir car le dragon noir est incapable de résister à ce qu’il appelle « La Vraie Liberté ». La liberté sans règle, sans ordre où on fait ce que l’on veut et on tue qui on veut.
• Relations : Gûeldryn respecte chaque être vivant (7/10) sauf ceux qui sont corrompus (2/10). Il accorde sa confiance plus particulièrement aux dragons qui ne sont pas de la volée noire. (10/10) Dèranor, lui, n'aime personne et ne ressent aucun sentiment pour personne (3/10 pour tout le monde)
• Aime ou adore : Gûeldryn aime la nature, les animaux, les dragons, lire, apprendre, sauver des créatures et gens innocents et aider ceux qui luttent contre la corruption. Dèranor, c'est tout le contraire. Il n'aime rien mis à part la nuit, la corruption, la mort, tué pour le plaisir et torturer les gens, y compris Gûeldryn.
• N'aime pas ou déteste : Gûeldryn déteste tout ce que Dèranor adore et Dèranor déteste presque tout ce que Gûeldryn fait.
• Autres : Photo en couleur de Dèranor : Photo
Informations historiques
• Lieu de naissance : À Nuralias, qui était autrefois surnommé La Forêt Mystique.
• Résurrection : /
• Refuge : Nul part, il voyage.
• Loyauté : Réellement, il n'est loyal qu'en lui-même et en ceux qu'il trouve digne de sa confiance mais doit obéir aux ordres de la Main de la Mort.
• Héritage : Il a du sang royal de la famille PaleFate
• Histoire :
Prologue
Le début d'une vie
Mon histoire commença il y a quatre millénaires. L’âge des Anciens était le temps doré pendant lequel la paix, la sérénité et la quiétude régnaient. Les gens se contentaient de ce qu'ils avaient et vivre était bon. C’était le bon temps. Mon enfance, je l’ai passé dans les territoires humains qui étaient autrefois où se trouvait la capitale des Elfes du Savoir. Les terres ne se ressemblent guère. Avant, c’était une forêt magnifique, la plus belle qui n’est jamais exister d’après moi. Mais, la Légion de l’Effroi a tout ravagée. Maintenant, la vie a reprit sont cours mais que quelques arbres eurent la force de repousser, ce qui a transformer le terrain de forêt à vallée de la mort qui est maintenant une plaine. Rares sont ceux qui se souviennent de cette forêt. Les temps changent et souvent, notre destin n’est pas ce qu’on aurait voulu qu’il soit. Pour ce qui est du mien, il a tourné bien souvent de façon que je n’aurai jamais espérer qu’il le fasse.
Lorsque j’étais enfant, il y a environs 4500 ans, je rêvais de devenir un des plus puissants druides de l’univers. Un druide qui aurait fait de grandes choses dont les gens se seraient souvenus. C’est pourquoi je m’aventurai souvent en forêt à la recherche de druides à espionner en espérant apprendre quelque chose de ces observations. Pendant longtemps, je voulais voir l’Antre des Anciens, cet endroit sacré où les plus grands druides se réunissaient.
Après quelques années d’études et d’observations, j’en comprenais assez pour produire des incantations mineures. Tout ce temps, je ne comprenais pas la loi de la balance qui impliquait la plupart de ce que les druides faisaient. Un jour, j’en pris conscience en guérissant un jeune chevreuil. En échange, on me vida de mon énergie vitale. Exténué, je me rendis compte que je n’avais fait qu’un échange. Un transfert d’énergie afin d’en donner au corps de l’animal pour qu’il se régénère rapidement. Fier de moi mais vidé de mon essence, je tombai au sol et m’endormis aussitôt.
On aurait dit plusieurs voix qui se chamaillaient qui résonnaient dans ma tête lorsque j’ouvris les yeux. Une dizaine, non, une centaine de druides étaient réunis autour de moi. S’en était abasourdissant. Les voix, elles, étaient assommantes. Puis, alors que je sentais ma tête gonfler, je bouchai immédiatement mes oreilles avant de devenir sourd.
- Arrêtez, leurs demandais-je avec impatience. Vous allez me rendre sourd.
Mais, personne ne m’entendit. Les grands druides continuèrent leur querelle.
-Ça suffit ! rugit une voix si puissante qu’elle fit trembler la terre.
En me retournant vers la source du son abasourdissant, tout devint silencieux. L’auteur de cri impressionnant possédait évidemment l’autorité sur tous les druides. Chacun se retourna vers lui et fit une révérance en marmonnant « Seigneur Neriem ». Qui était dont cette personne ? Je ne voyais rien. Ce Neriem était dissimulé dans l’ombre de la forêt.
- Du calme, vous avez réveillé le petit, dit doucement Neriem en s’avançant hors de l’ombres vers moi.
Il n’avait pas du tout un corps d’elfe, comme je l’avais déduis. Il était massif, aussi grand qu’un arbre. En faite, il ressemblait à un lézard vert ailé. Sa grosse tête s’approcha de mon visage. Il m’observa attentivement puis redressa celle-ci vers le ciel.
- Ce jeune garçon n’est pas qu’un simple Elfe du Savoir, expliqua Neriem. Il fait parti de la famille royal de PaleFate. C’est aussi pourquoi il pu apprendre la voie des druides si aisément. Quoi que l’on puisse dire ou faire, il fait parti des nôtres à présent.
- Que… Qu’est-ce que…, commençai-je en bafouillant.
- Je suis le Seigneur Vert de la Volée des Dragons Verts, me répondit-il de sa voix qui était maintenant rassurante et emplie de sagesse. Et, tu es, à présent, un apprenti druide. Tu deviendras un grand gardien des forêts.
- Où suis-je ?
- À l’Antre des Anciens, qui se retrouve au cœur de la forêt ! Et ton entraînement commence maintenant !