Themis Melpomene

Informations Générales

• Nom : Themis (se prononce Thémis)
• Nom de famille : Melpomene (se prononce Mélpoménê)
• Rang ou titre :
• Âge : 22 ans
• Sexe : Femelle
• Poids : 99 livres
• Grandeur : 5.5 pieds
• Race : Elfe déchu
• Classe ou métier : Nécromancienne
• Alignement : Mauvais, chaotique
• Croyances : Themis ne croit qu’en Cerzim et Taj
• Langage de naissance : Commun, Elfique
• Langages secondaires apprit totalement : Arniar
• Langages secondaires connus : Demonique
• Compagnon : Une licorne noire


Informations secondaires

• Apparence physique : Themis ne montre son visage à personne, mis à part ceux en qui elle a réellement confiance. Les « chuchoteurs » racontent qu’elle a des cheveux d’un noir de jais qui sont en parfaite harmonie avec ses yeux en amandes tels des saphirs mais qui vous glacent le sang jusqu’au plus profond de votre cœur dès qu’elle pose son regard sur vous. Sa peau extrêmement pâle fait ressortir ses yeux et lui donne un côté malade. Ce sont les seuls renseignements que l’on a pu avoir sur le visage de la jeune, mais ce dont on est sur, c’est que Themis est une elfe d’assez petite taille (pour une elfe), elle ne mesure qu’environ 5.5 pieds (1.70 mètres) et pèse 99 livres.
Tout en étant assez mince, la jeune femme dévoile des formes plutôt généreuses. Elle porte une longue cape rouge qu’elle n’enlève sous aucun prétexte. Quiconque essaye de lui enlever se voit mort dans la seconde qui suit, transpercé par ses deux dagues aussi coupantes qu’une lame de rasoir. Elle ne se déplace jamais sans sa fidèle monture noire qui, d’après les « chuchoteurs », se nommerait Thalie… Themis est semblable à un spectre lorsqu’elle chevauche son immense licorne noire.
La jeune femme porte un étrange pendentif sur une chaîne en or blanc dont elle ne connaît la provenance.

• Personnalité et attitude : Themis est d’ordinaire plutôt calme, mais il n’est pas impossible que la jeune femme se mette en colère très rapidement. Elle a un tempérament de feu et ne supporte pas avoir tort ni qu’on lui refuse quelque chose. Un léger conseil d’ami, ne lui dites jamais non. Cette femme est extrêmement capricieuse, elle n’hésitera pas à vous torturer pour obtenir ce qu’elle veut. Themis a l’air reposée, mais en réalité, dans sa tête, tout est en désordre. Elle ne sait plus où ni vers qui aller car elle n’a confiance en personne ! La jeune femme a développé un certain sadisme dû au drame qu’elle a vécu. Certaines personnes n’hésiteront pas à la traiter de folle, de tarée… Mais je ne pense pas que ces mots soient adéquats. Cette jeune fille a tout simplement eu un choc dont elle ne se remettra jamais, elle n’est pas folle, elle sait très bien ce qu’elle fait, elle est juste…troublée.

• Relations : Pourquoi discuter ? La jeune femme ne connaît personne d’autre que sa licorne maléfique. Et elle ne veut pas rencontrer plus de monde. Elle déteste les gens. Que dis-je ? Elle les hait ! C’est pour que je donne une note de 2/20 à tous les peuples d’Arania. Themis est une solitaire et elle désire le rester jusqu’à sa mort. Pour gagner la confiance ou même l’amitié de la jeune femme, il faut être plus que patient, car elle pense que tout le monde lui veut du mal.

• Aime ou adore : Ne pensez pas que Themis n’aime rien, bande de rabat-joie ! Au contraire, cette jeune femme adore les animaux, voilà pourquoi elle sait parler l’Arniar. Elle va souvent dans la forêt avec sa licorne noire, qui est sûrement sa meilleure amie –et la seule, pour voir les différentes espèces qui y vivent.
Elle aime aussi se baigner dans l’eau claire des ruisseaux, nager avec les poissons ou bien avec sa licorne. Elle joue souvent avec son amie aussi bien dans l’eau que sur terre.
Themis explore la forêt à la recherche d’une nouvelle flore qu’elle n’aurait pas encore découverte. Car depuis le temps qu’elle vient dans la forêt, elle connaît chaque arbre, chaque fleur, chaque brins d’herbe. Et elle aime découvrir une nouvelle espèce de fleur.

• N'aime pas ou déteste : La jeune femme déteste les êtres de sexe masculins. Pourquoi ? Vous le découvrirez dans son histoire. Elle sait qu’on ne peut pas leur faire confiance : trahison, infidélité, incompréhension et j’en passe. Elle hait encore plus les êtres de sexe féminins, la seule femme qu’elle supporte à peu près, c’est elle. Elles sont toutes comme des rapaces, elles se jettent sur un homme, et à ce moment là, la seule loi qui règne est « Que la meilleure gagne ! ». Elles n’hésitent pas à essayer de voler les hommes des autres, sans même se demander si elles font du mal en agissant comme cela. Et eux, ces hommes infâmes, se laissent faire sans rien répliquer, ils sont tellement faibles. Themis déteste la faiblesse et donc les faibles.


Informations historiques

• Lieu de naissance : sur l’île de Heryel
• Résurrection : /
• Refuge : Dans une maisonnette de Vybria, chez Calliope.
• Loyauté : Envers Thalie et les animaux de la forêt de Vybria
• Héritage :
• Histoire :

« Je l’ai tué… Je l’ai tué… Je l’ai tué !!!! »

- Themis ! Réveille-toi, paresseuse !

La jeune femme sursauta. Elle était en sueur, des larmes perlaient sur ses joues, son cœur battait la chamade. Elle bondit hors de son lit et se dirigea vers sa coiffeuse pour éclabousser son visage d’eau, question de se rafraîchir. Elle releva lentement la tête pour se regarder dans le miroir. Elle fit une grimace en se voyant et jeta un drap sur la glace. Décidément, elle ne s’aimait vraiment pas.
Elle se dirigea ensuite vers la baignoire. Calliope, sa mère adoptive, avait fait bouillir de l’eau pour qu’elle puisse se laver. La jeune Elfe se glissa lentement dans l’eau et ferma les yeux quelques instants. Alors, toutes les images qu’elle voulait oublier revinrent.
Mais laissez-moi plutôt vous narrer le passé de Themis, celui qu’elle a toujours juré d’oublier, mais tellement difficile à effacer de sa mémoire…

Themis est née sur l’île de Heryel. Ses parents étaient des Elfes Lunaires, Uranie Melpomene et Thoas Melpomene, et ils étaient sûrement les plus heureux des Terres d’Arania d’avoir mis au monde un enfant aussi beau. La jeune fille était vraiment petite, trop petite pour son âge, mais cela la rendait encore plus mignonne. Ses yeux bleus étincelaient tel un ciel garnit d’étoiles et son visage avait l’honneur de porter sans cesse un magnifique sourire. Les parents de Thémis avaient aussi une autre fille, Erato, tout aussi ravissante. Elle avait 4 ans lorsque sa sœur est née. Elle avait des cheveux blonds comme le blé et des yeux verts tels des émeraudes. Son teint était plutôt pâle, ce qui lui donnait un air de poupée.
Themis, qui avait maintenant 3 ans, et Erato avaient accepté dans leur bande leur cousin, Œdipe, qui vivait aussi à Heryel et qui avait le même âge que Themis. Ils étaient, tous les trois, les enfants les plus insupportables de l’île. Ils cassaient tout sur leur passage.

- Erato ! Themis ! Œdipe !

C’était Egialée, la tante de Themis et d’Erato, qui criait. Les enfants venaient de casser la tringle à rideau en marbre du château. Comment avaient-ils fait ? Ca, personne ne le sait. Sûrement en faisant de la balançoire avec le rideau. Même le marbre cassait après le passage du trio.
Mais les parents d’Œdipe se séparèrent et les trois enfants ne se revirent plus jamais.

A l’âge de 14 ans, les parents de Themis et d’Erato, Uranie et Thoas, se séparèrent à leur tour. Mais ceux-ci restèrent de très bons amis, il n’y avait aucune rancune. Et puis, de cette façon les deux filles pourraient toujours voir leur père, car elles allaient vivre avec leur mère.
Uranie trouva un petit château sur l’île de Heryel, pas très loin de celui de Thoas. Mais Erato, qui était extrêmement capricieuse et qui détestait que l’on ne lui fasse pas plaisir, décida de se venger du divorce de ses parents. Elle devint insupportable. Elle refusait de travailler et demander tout l’argent que Uranie gagnait, elle ne respectait plus sa mère et la traitait comme une bonne à tout faire. Uranie devait tout faire à la maison, même nettoyer la chambre d’Erato. Mais vint le jour, où la jeune mère se trouva un fiancé. Elle était à nouveau heureuse avec lui. Cela ne posait aucun problème à Themis qui, au contraire, encourageait sa mère à trouver un homme bien. En revanche, Erato était folle de rage, elle était prête à tout pour que sa mère quitte cet être abject.
La petite Themis, elle, avait trouvé un jeune homme plutôt charmant et était avec lui depuis plus d’un an. Elle l’avait présenté à sa mère, à son père et à sa sœur, et tous approuvaient le choix de la jeune Elfe. Seulement, quelque chose rendait Themis malheureuse. Ca n’était pas Pâris, son petit-ami, mais Mégès, la meilleure amie de Pâris. Cette Elfe était blonde aux yeux bleus, elle n’était pas très fine et elle avait une peau assez pâle. Themis la haïssait. Tout simplement parce qu’elle draguait ouvertement Pâris et lui, il se laissait faire. Themis était persuadée que Mégès était amoureuse de lui, elle avait tenté d’en avertir Pâris, mais il refusait de la croire. S’en était assez ! Il préférait défendre sa meilleure amie et croire cette pu**** plutôt que d’être du côté de sa copine. Ca n’allait pas se passer comme cela !
Le lendemain, Themis croisa Mégès. Elle fit comme ci de rien n'était, il ne fallait pas lui dire quoi que ce soit, sinon, elle ferait passer Themis pour une menteuse et elle gâcherait la relation qu’elle avait avec Pâris. Ce jeune homme était tout pour elle. Elle ne pouvait vivre sans lui, elle l’aimait tant. Elle n’avait plus peur de mourir si c’était pour lui. Sa plus grande peur était de perdre Pâris…et qu’il aille dans les bras de Mégès qui mettait la pagaille dans leur couple. Themis en souffrait. Elle pleurait tous les soirs. Pâris ne la croyait pas ! Themis était une menteuse ! Mégès ne pouvait pas être amoureuse de lui, c’était sa meilleure amie ! Pâris préférait défendre Mégès ! Lorsque l’homme qui est le plus cher à nos yeux agit comme cela, on ressent la même sensation que s’il nous avait trompé ou trahi. Votre cœur est en mille morceaux car, vous passez au second plan. Une autre femme, qui pourtant n’est pas celle que votre homme aime passe avant vous…

Themis maîtrisa sa haine et fit un sourire forcé à Mégès. Celle ci lui rendit son sourire et l’enlaça. Depuis quelques mois, Mégès essayait d’être amie avec Themis. Sûrement pour en savoir plus sur son couple, ou encore sur ses points faibles. Ou tout simplement pour qu’elle ne s’aperçoive de rien et donc lui faire encore plus mal !

- Salut Themis ! J’allais justement voir Pâris, je vais lui demander si on peut se voir tous les deux !
- Au revoir…Mégès !

Mégès resta, c’est le cas de le dire, sur le cul. Elle avait bien réussit son coup, Themis retenait ses larmes le plus possible, mais elle ne montrait jamais ses faiblesses, c’est ce que sa mère lui avait toujours appris.
Alors comme ça, elle voulait le voir. Que tous les deux ? Mégès prenait vraiment ses rêves pour des réalités.
Encore une nuit où Themis ne pouvait s’empêcher de pleurer. Si Pâris savait cela, il n’en aurait sûrement rien à faire, il lui dirait une phrase comme « Pas la peine de te mettre dans cet état ! ». Au moment où elle alla chercher son mouchoir posé près de la fenêtre, elle entendit des gens rigoler. Elle se plaqua contre le mur et se pencha discrètement. C’était Pâris ! Et avec une femme, en plus ! Sa respiration s’emballa lorsque la jeune femme se colla contre Pâris et l’embrassa passionnément. Le jeune homme n’avait pas l’air très heureux, mais il ne se débattit pas. La femme se tourna et jeta un coup d’œil vers la fenêtre de la chambre de Themis. C’était Mégès !

- J’avais raison depuis le début ! Elle me le payera !

Elle alla dans penderie et sortit un carton enfouis sous un tas de draps. Dans celui ci se trouvait une tenue que sa mère lui avait donné. C’était une sorte de juste au corps en satin rouge très moulant. Il y avait 3 jarretières, elles aussi en satin rouge, c’était là que les dagues s’accrochaient. Et pour accorder le tout, il y avait un foulard exactement comme le reste de la tenue, pour tenir les cheveux et ainsi éviter d’avoir les yeux cachés, ainsi que de longues bottes rouges.
Une fois toute la tenue enfilée, la jeune femme attrapa les deux dagues et les analysa. Elle avait déjà vu un membre de sa famille poser sur une photo avec cette tenue et ces armes… Mais qui était-ce ? Enfin, peut importe ! Elle allait perdre sa première victime !
Themis prit soin d’éteindre toutes les bougies qui éclairaient sa chambre pour que Mégès ne la repère pas. La jeune femme attrapa enfin le dernier élément de sa tenue : c’était une cape légèrement rouge. Elle l’enfila puis sauta par la fenêtre pour atterrir sur le toit. Et marcha lentement le long de la gouttière. Comme un chat, elle ne faisait aucun bruits en effectuant ses sauts. Son père, qui était dans l’armée, lui avait parfaitement appris à se battre. Avec des épées, des fusilles, des dagues, des couteaux… Pour son âge, la jeune femme était plutôt brillante aussi bien à l’école qu’au combat. Elle maîtrisait plusieurs langues comme le commun, l’elfique et l’arniar tout comme elle maîtrisait plusieurs arts martiaux.
Mégès avait quitté Pâris et marchait dans une petite ruelle dans laquelle se trouvait l’épicerie et la couturière. Themis, elle marchait toujours sur les toits. Elle s’arrêta quelques instants. Il ne fallait pas qu’elle se rate, sinon cette traînée aurait le temps de fuir et d’appeler à l’aide. La jeune femme décrocha sa dague de sa jarretière et sauta derrière Mégès. Celle ci eut à peine le temps de voir le dos de la dague de Themis arriver sur sa tête, elle s’écroula.
Lorsque Mégès se réveilla, elle sentit une atroce douleur lui envahir le visage. Elle ouvrit lentement les yeux et observa l’endroit dans lequel elle se trouvait. C’était une…grotte. Elle n’était même pas attachée… Quel agresseur serait assez idiot pour laisser sa victime en liberté ? Contre le mur, était accroché un immense miroir duquel elle s’approcha. Elle put alors remarque son visage complètement défiguré par un sourire de l’ange et par des coupures autour des yeux.

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Les lumières s’éteignirent d’un seul coup. Mégès sentit une respiration glacée le long de son cou. Son agresseur était de retour.

[Elfique] - On appelle ce monde destin. Le lien s’enroule autour d’un impuissant et fragile préjugé. La haine. La tristesse. Tout s’achève par des larmes. Derrière le rideau, à minuit, les vengeances seront acceptées.

Mégès sentit une main glisser sur sa joue. Alors, Pâris apparut face à elle et lui fit un sourire pour la réconforter. Il mit une main sur chaque joue et l’embrassa avec fougue. Lorsque Mégès réouvrit les yeux, elle se retrouva face à un squelette qui sortait sa langue pour l’embrasser à nouveau. La jeune femme se mit à hurler et Themis plaça une main devant sa bouche.

[Elfique] – Ô, misérable petite ombre enfermée dans les ténèbres, méprisant les gens, allant jusqu’à les blesser… Âme noyée dans un karma immonde ! Veux-tu goûter à la mort, cette fois ?!

Elle lui trancha alors la gorge en l’effleurant à peine avec sa dague puis lança le corps par terre. Voilà une bonne chose de faite ! Mais, à présent, elle ne pouvait rester sur Heryel ! Surtout que Pâris, qui ne lui faisait jamais confiance et qui ne la croyait jamais, n’hésiterait pas à la dénoncer.
En arrivant devant sa maison, elle fit un bond et elle atterrit sur le toit face à la fenêtre de sa chambre.
Themis rangea toutes ses affaires dans un sac. Elle prit soin de nettoyer sa dague couverte de sang avant de la raccrocher à sa jarretière. Puis elle enfila de nouveau sa cape et sauta par la fenêtre sans même laisser un mot à sa mère. Son aventure venait de débuter !

Themis avait désormais 20 ans. Elle avait vécu près de 6 ans, seule dans la forêt. Elle y connaissait toute la faune et la flore de ce paradis. Aucune cachette ne lui résistait, elle les connaissait toutes, sans exception. Elle vivait dans un cabanon en plein milieu de la forêt avec sa meilleure amie, Thalie, une licorne noire qu’elle avait rencontrée 4 ans plus tôt. Etrangement, la licorne maléfique n’avait jamais voulu piquer Themis de sa corne noire empoisonnée. Non, elle avait plutôt décidé de la mettre à son service pour la défendre. Peut-être avait-elle sentit le mal que Themis avait éprouvé, et surtout, causé. Sans-doute savait-elle que la jeune femme ne serait pas gentille toute sa vie. Peut importe !
Un jour, Themis tomba du haut d’un arbre et se cassa le poignet. Alors, une femme du nom de Calliope, qui avait l’air d’avoir la quarantaine, accourut vers la maladroite.

- Vous allez bien ? Vous ne vous êtes pas fait trop mal ? Venez plutôt chez moi, que je vous soigne vos égratignures et vous serve une grande tasse de thé.

Themis buvait lentement sa tasse de thé dans le petit château de Calliope. Celle ci voulait que Themis reste chez elle, car elle se sentait terriblement seule depuis l’incendie qui tua ses filles et son mari. La jeune femme ne pouvait refuser. De plus, il y avait de grandes écuries pour y mettre sa licorne.
Themis se sentait plutôt bien chez Calliope. Elles avaient beaucoup de points communs : une passion pour la faune et la flore, etc… Elle avait des serviteurs qui exauçaient ses moindres désirs. Et Thalie avait l’air, elle aussi, de s’y plaire.
Un matin, Calliope entra dans la chambre de Themis en courant sans même frapper à la porte. Elle poussa les rideaux du lit à baldaquin et sauta sur la belle endormie.

- Themis ! J’ai une grande nouvelle ! J’ai tous les dossiers pour…pour devenir ta mère adoptive !

Les deux femmes signèrent les papiers sans même lire tout ce qui y été marqué tellement l’excitation était grande. Seulement, il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué…
Une fois que cela fut officiel, Calliope montra son véritable visage. Tout ce dont elle avait besoin, c’était d’une femme de ménage. Elle n’avait jamais eu de filles, ni même de maris. C’était la seule façon de s’empoisonner la vie, et je la comprends bien…
Themis devait se lever à six heures le matin et faire les corvées de tout le château jusqu’à, au minimum, vingt-deux heures. Elle devait nettoyer les vitres, nettoyer le sol puis le cirer, cirer les rampes de l’escalier, enlever la poussière des vingt tapis de cinquante pouces de long et quarante de large, faire la vaisselle, porter le petit déjeuner de madame puis du chat. En revanche, elle avait le droit à deux heures de repos à partir de quatorze heures. Themis en profitait pour aller en ville faire quelques courses, mais surtout pas pour y faire des rencontres. Car elle avait perdu confiance en tout le monde… Son esprit était devenu mauvais, terriblement mauvais. Alors qu’elle s’était arrêtée dans une ruelle pour se reposer, sous le coup de la fatigue, elle s’endormit par terre. A son réveil, Thalie était allongée à côté d’elle. Elle poussa un hennissement très aigu et pointa le museau vers le pendentif que Themis portait autour du cou. La jeune femme n’expliqua jamais la venue de ce collier, toutefois, il lui était de le retirer…


A suivre...



Questionnaire

Qui est Cerzim ? Cerzim est le Dieu de la corruption et gardien des âmes.
Quel est le nom de l'armée qu'a créé Cerzim ? L’armée de Cerzim se nomme la Légion de l’Effroi.
Quel est le nom du monde des mortels ? Le monde où vivent les mortels est Arania.
Quel est le nom du monde des démons ? Le monde où vivent les démons est Nara'Hija.
Quel est le nom du monde des divinités ? Le monde où vivent les divinités est Yuriez.
Quelle essence (ou mana) ne peut être utilisée que par les divinités ? C’est l’Essence Divine qui ne peut être utilisée que par les divinités.
Comment se nomme la première Âge ? La première Âge se nomme l’Âge des anciens.
Quel est le but de l'Ordre de l'Hybride ? Le but de l’ordre de l’Hybride est de se venger des proches qui les ont rejetés.

Superbe fiche ...

Wow, bah, ta fiche est vraiment super ! Tu mérite ton titre d'Elfe Déchu nécromancienne. Fiche validée. Je devrais songer a faire ma fiche bientôt.

Et bah, j'adore les personnages sombres et méchant avec leurs raisons psychologiques !

Note : Active ta feuille de personnage, sil-vous-plait ! ^^ (Dans ton profil) Et tu peux toujours finir ta fiche mais je te valide quand-même, elle est deja assez longue ^^