~ Menelossë ¤ Menelmacar ~ [En Cours]

Informations Générales

• Prénom : Menelossë
• Nom de Famille : Menelmacar
• Surnom : Maelthra
• Rang ou Titre : Dragonnier du Savoir
• Âge : Près de 4000
• Sexe : Masculin
• Poids : 70lbs => 190lbs en arme et armure
• Grandeur : 6’6

• Race : Elfe du Savoir
• Classe : Chevaucheur de Dragon
• Éléments : Essence de la Nature, de la Vie, de la Mort, Runique et Spirituelle
• Alignement : Chaotique Neutre
• Croyances : Les Créateurs
• Langage de Naissance : Vernien
• Langages secondaires apprit totalement : Elfique, Ressariar, Commun
• Langages secondaires connus : Runique, Draconique
• Compagnon : Mórëlenya


Informations Secondaires

• Apparence Physique :
Son corps est svelte et il est un peut plus grand que la moyenne des hommes du peuple auquel il appartient, enfin pour le nombre qui reste il serait vue normal, ses yeux sont de couleur verdoyante et sa chevelure de longueur moyenne à l’avant puis longue vers l’arrière tombant vers le bas du dos et qui est d’un noir cendré… Il arbore généralement des habits de sa contrée, Nuralias, mais il ne semble pas détester porter les œuvres des autres peuples également qu’il trouve dans les autres landes. Sa stature est toujours bien élégante, galante et remplie de courtoisie. On peu voir à sa joue droite une cicatrice d’épée acquise pendant les préludes de son passé, mais il y en a plusieurs autres sous sa fameuse armure qu’il ne retire qu’une fois par jour tout au plus.

Il porte souvent une armure finement taillée dans les lingots d’un grand forgeron des landes de Prophiêr. L’armure représente typiquement l’armure d’un chevaucheur de dragon, elle est noire cendré ainsi que turquoise. La cape à son dos est également turquoise qui est mise sous les épaulières et sous les protections des hanches. Son arme est une épée au manche long, apparenté au naginata mais en plus large, ressemblant à la fois à une lance puisque le manche est long de trois pieds et une épée comme lame qui est longue de deux pieds. Ses gantelets sont fait en sorte de pouvoir servir aux parades puisqu’ils longent l’avant bras. Sous cette armure, il porte généralement des vêtements moulant de couleur noire puisqu’ils sont les plus communs en vente pour les assassins et les ninjas.


• Personnalité et Attitude :
Malgré son air hautain habituelle, il est en général très bavard et il adore faire des blagues avec des amis proches de lui, mais avec les autres, il sera en général très hautain gardant sa stature à la perfection, mais il semble tout de même très galant avec les beautés cousines de son peuple ainsi donc la courtoisie lui est tout à fait naturel. Il est facilement comparable à un humain comme attitude mais reflète physiquement d’un elfe éduqué digne d’une noblesse. Il peut parfois paraître indifférent et insoucieux envers tout ce qui l’entour et voir même froid si on l’embête un peu trop. Il n’est pas facile de le rendre agressif ou même arrogant, mais il peu le devenir en perdant le don à l’endurance mental auquel il garde presque toujours et cela sans grands accrochages.


• Relations :
Elfe du Savoir, 10/10 : Les rares survivants sont approchés tel une famille qui se réuni, malheureusement en rencontrer reste un miracle de la vie depuis que les démons les ont pratiquement tous anéanti de la carte.

Naars, 7/10 à 4/10 : Ils sont un peuple fort amical et plaisant à côtoyer, du moins, la plupart d’entre eux. S’ils ne sont pas trop curieux sur la personne, ils ne sont pas tous tellement désagréables.

Dragon, 10/10 à 1/10 : Que dire de plus qu’un dragon est une source de savoir, de sagesse, mais également de destruction, de famine et bien plus encore. Dépendamment de quel genre on rencontre sur le chemin, tu pars rapidement ou bien du commence une belle petite discussion.

Humain, 7/10 à 1/10 : Trop ambitieux, ils oublient les lois de la nature, ils font de leurs désirs des réalités en délaissant ce qui les entours. La majorité sont mesquin et trahirais son voisin pour une miche de pain. Mais d’autre plus sensé seront faire la différence avec le peu de temps qu’ils auront à vivre.

• Aime ou Adore :
Il est un grand adorateur de la faune et de la flore, bien qu’il tuera pour se manger en bas de besoin, mais s’il le fait il ramassera tout de la carcasse de l’animal et priera la divinité de la vie pour la remercier ainsi que la divinité de la mort puis que l’âme de l’animal puisse reposer en paix. Bien qu’il ne le démontrera jamais, il adore avoir de la compagnie, le voir seul signifie souvent de mauvais présage. Il aime particulièrement la poésie, de vie ou plus sombre par moment, cela ne semble aucunement le déranger puisque la vie est menée par des hauts et des bas continuellement.

• N'aime Pas ou Déteste :
Il n’aime pas particulièrement mettre fin à une vie abruptement, bien qu’il n’apprécie aucunement cela, pour continuer à vivre il n’eut autre choix de l’accepter malgré tout. Il ne déteste pas grand-chose d’autre, outre peut-être le fait qu’il a encore une dent envers les démons qui ont saccagé son ancienne contrée. Mais ce qu’il répugne le plus resteront à jamais les mort-vivants.

• Autres : Meow ? =3


Informations Historiques

• Lieu de Naissance : Nuralias
• Résurrection : Immortel
• Refuge : Aucun
• Loyauté : Mórëlenya
• Héritage : Une lame runique que son père lui donna.

• Histoire :



Ici bas, vous découvrirez une histoire contenant mille et une péripéties de toute une vie ou presque, puisqu’elles continuent encore en nos jours. Histoire d’un jeune homme faisant parti de ce qu’on appelait autrefois les elfes du savoir, un peuple pratiquement disparu des landes de cette contrée. Ainsi dans les chapitres suivant, vous aller pouvoir lire d’où il vient jusqu’où il s’en va durant les siècles et même les millénaires. Vous pourrez donc découvrir comment un simple elfe peut devenir un grand chevaucheur…

Très intéressant comme personnage. Un chevaucheur de dragon, c'est pas tout les jours que quelqu'un puisse dompter un dragon.

Belle fiche jusqu'à présent. J'ai bien hâte de voir le suite.

Note pour les membres de l'équipe : Il a trouver l'œuf de son dragon et l'a élevé. Un dragon n'aurait pas normalement pu être dompté. Il doit quasiment prendre l'être en question pour son parent ou quelqu'un de la famille.

Menelossë est né dans la contrée de Nuralias, ses parents furent très heureux d’avoir enfin pu donner naissance à un enfant après des siècles d’attentes. Après tout, la fécondité des elfes était quelque chose de bien rare. La majorité des familles qui avait un seul enfant pouvait se compté béni des dieux et s’ils arrivaient à en avoir un deuxième cela se révélais un vrai miracle de la vie. Mais si nous retournons à nos moutons, le père du jeune bambin s’appelait Menelistel, la lumière argenté des cieux et sa mère pour sa part avait pour prénom Ránaelenya, la lune des étoiles. Puisqu’il était un jeune garçon, il reçu un nom comme les ancêtres de son père, Menelossë, la terreur des cieux. Et pour le nom de famille, cela était Menelmacar, qui signifiait guerrier des cieux. Le jeune bambin grandit donc tranquillement et paisiblement dans une petite citée elfique paisible et forestière. Quand il fut apte à marcher et même courir, Il jouait dehors avec le peut de jeunes elfe de son âge sans se soucier d’autre chose qui pouvait vivre en dehors du village qui était tout un monde pour lui.

Après une vingtaine d’années, se qui est encore très jeune pour un elfe, il commença un entrainement avec son père avec des armes fait dans du bois, du bois mort récolté au sol bien évidemment. Ainsi il commença à aiguiser ses sens du combat très tôt dans la vie, prenant l’enseignement de son père avec sérieux malgré qu’au fond de lui il m’amusait beaucoup en même temps, il ne le démontrait pas particulièrement. Puis avec sa mère, qui elle était une grande magicienne de renom, il apprit beaucoup sur l’apprentissage et le développement de ses essences, la première qui lui fit apparition était celle de la nature, comme beaucoup d’autre elfes, cela était normal. Mais sa mère lui faisait également apprendre les diverses langues elfiques qu’elle connaissait allant de l’ancienne langue jusqu’au récentes et également du runique puisqu’il n’était point rare que les armes des elfes étaient tous enchanté par des runes et une centaine de mots en draconique s’il tombait un jour sur une entité qui parlerai que cette langue rauque et sifflante.

Le cheminement dura une centaine d’années, il devenu une adulte accompli par la suite en sachant autant chasser que se battre pour défendre leur territoire, il commençait déjà à quitter le monde qui les entourait, voulant découvrir le reste de se monde qui était aux dires des sages et anciens si vaste et plein de surprises. Bien qu’il sache qu’il y avait beaucoup de peuplades outre les elfes et que certains pouvant s’avérer bien dangereuses, il ne semblait pas avoir aux yeux après toutes les légendes qu’on lui avait racontées. Au contraire, l’effet espéré par ses parents autant que les anciens qu’il reste parmi eux lui donnait encore plus le goût de voguer à l’aventure et la découverte du monde, mais aucunement pas ambition mais bien par curiosité. Ainsi donc, il prit quelques effets personnels qu’il glissa dans un fin sac elfique et il le glissa sur son dos, mais juste avant qu’il parte, son père lui donna une arme particulière, d’une couleur turquoise et argenté munie de marques runiques. Sa mère quelques mètres plus loin lui sourit tendrement, il salua son père puis parti au loin.

Ainsi dont, le voyage d’une vie commençait, ayant aucune destination en vue pour débuter, il prit simplement vers le nord, découvrant le peuple des Naars après quelques semaines de voyage dans les forêts mystiques de Nuralias. Il arrivait enfin vers une nouvelle population, une nouveau peuple, du nouveau sang, de nouvelles découvertes tous autant intéressant les une des autres. C’est dans un tel endroit qu’il s’intéressa au travail de certains d’entre eux, plus précisément un certain forgeron qu’il surnommait Naira, cœur de feu, puisqu’il était un grand forgeron toujours dans une fournaise qu’il surnommait sa forge. S’il ne faisait pas chauffer du métal, il piochait son marteau sur le métal qui donnait un bruit assourdissant pour les oreilles du jeune Menelossë. Le jeune adulte resta tout de même quelques mois puis quelques années avec l’homme, il l’aida en échange d’un logis en minant dans une mine avec ce dernier, apprenant également quelques temps l’art de la forge mais sans vraiment en pratiquer.

Mais avant de partir, il dessina une petite esquisse d’une armure à la fois elfique et draconique, puisqu’il avait tellement entendu parler de dragon dans sa jeunesse qu’une armure dans cette forme serait vraiment un œuvre d’art. Il pensa même aux détails de celle-ci, ayant des gantelets qui sont également des gardes pour parer au besoin et le tout sans nécessiter de pavois. Le forgeron la trouva sur son établi de travail le matin venu, sans trouver de trace du jeune elfe, il ne pu s’empêcher d’avoir un rire gras. Il savait qu’il reviendra, mais il ne savait pas quand, ainsi dont pendant la continuation du voyage que Menelossë faisait, une armure unique était en conception pour le jeune adulte bien vigoureux. Un léger sourire sur les lèvres, il continua son voyage des terres de Prophiêr jusqu’aux landes des humains, où l’ambition mène leur destin jour après jour. Bien que la route fût longue, il arrivait de plus près à destination à chaque pas laissé derrière lui sur le sol.

Une fois en territoire humain, bien des paysans le dévisagèrent sur son chemin, puisqu’il était tout de même munie d’un arme accroché à son dos, mais également car il était plus grand que beaucoup d’humains, portait des vêtements elfique et d’autant plus était d’un peuple vivant sur la bordure de leur territoire. Mais puisque les elfes sortait que trop rarement de leur village et encore moins de leur limite territoriales, en voir un se promener sur les sentiers des humains et aller en direction d’une capitale était tout autant miraculeux en soit. C’est donc rendu à l’intérieur d’une grandiose citée qu’il se promena en observant cet étrange peuplade éviter son regard et son chemin, d’autres parlant bien bas sur ce qu’il fait là, bien que ses oreilles assez fines entendirent les dires des hommes en le jugeant et bien encore il resta indifférent et garda ses manières à la fois hautaines mais pleines d’une grâce peu commune outre dans leurs propre familles de la noblesse.

Ainsi dont, le premier dont il visita fut leur bibliothèque, l’endroit où était gardé leur histoire mais également diverses contes et légendes, des livres de langages raciaux, des religions pratiqués ainsi que de la poésie jusqu’aux livres parlant de leur royaume. Sortant une dizaine de gros grimoires hors des tablettes, il les posa sur une table avant de commencer à les feuilleter tranquillement, demandant de l’aide sur quelques mots à un scribe qui l’aidait sur les mots les plus difficiles du langage commun à l’écrit. Quand il devait se nourrir, il partait chasser dans les bois et revenait toujours avec du gros gibier, ce qui en jalousait plus d’un mais en charmait quelqu’une parmi les humaines. Ainsi dont il devint un chasseur reconnu et les gardes aux portes et dans la citée finirent par se mettre à l’idée qu’il resterait encore longtemps vue leur durée de vie incroyablement longue. C’est ainsi que sa vie se déroula, chassant au petit matin, lisant les bouquins le restant de ses jours puis dormant à la belle étoile sur l’herbe d’une pleine.

Jusqu’au jour où il se demanda s’il ne devait pas continuer son périple vers une autre contrée afin de découvrir encore d’avantage le monde qui l’entourait. Bien qu’il ait eut une place de choix parmi le peuple des humains, sa vie ainsi que son voyage ne devait s’arrêter là. Il en avait encore beaucoup à voir et une contrée faisait désormais appel à ses sens, pour lui le départ approchait grandement, jusqu’au jour où il salua une bande de vieillards à la bibliothèque, qui à son arrivé étaient tous de jeunes gens ambitieux. D’autre étaient déjà mort depuis belle lurette et d’autre restait encore à travailler simplement pour pouvoir se nourrir. Mais juste avant son départ un des scribes lui remet une carte du continent sur lequel il était, de quoi mieux le guider dans ses prochaines péripéties qui étaient à venir. Ensuite de quoi, il commença à faire route vers le sud afin de visiter les contrées plus désertique et qui sait rencontrer un peu de vie dans ce gros carré de sable.

Déjà quelques semaines avaient passés, Menelossë parcourait la bordure territoriale entre les deux territoires, intrigué s’il trouverait de la nourriture dans un endroit si aride. Mais après quelques semaines se chasse à faire sécher de la viande ainsi qu’en amenant des fruits et des noix dans son sac, il continua sa route vers le cœur de Torgar. Ainsi dont il traversa maintes tempêtes de sable sans jamais croiser grande vie, mais bien entendu après un bon mois, il se mit à l’idée de voyager la nuit et de se reposer le jour puisque le soleil demandait beaucoup plus d’énergie dans les déplacements. Le premier soir venu, il observa la vie sortir de partout, beaucoup de petits animaux qui étaient cachés dans le sable et dans des troues probablement. Quelques mois ensuite, il découvrit un petit oasis où il s’installa quelques temps, découvrant à chaque jour de nouvelles espèces d’animaux, mais sans jamais voir un seul humanoïde sur son chemin.

Vint donc le jour où il tomba sur un fleuve bien chaud tout près d’une montagne bouillonnante de vie, son regard sentait bien le danger tout près, il était donc tomber sur la fameuse chose qu’on appelait un volcan, le souffle de vie de la terre à ses yeux. Contournant le fameux fleuve, il découvrit des ossements de dragon gigantesque tout près, mais vieilles elles étaient puisqu’il n’y avait plus de cher depuis des lustres au premier regard. Il trouva également quelques écailles de dragon, des petites mais également des grosses d’un pied de diamètre, il ramassa quelques grosses de ses écailles en les accrochant sur son sac à dos, un poids de plus mais le forgeron Naira lui avait raconté que sa pouvait valoir une petite fortune donc un moyen de s’acheter une armure avec facilité. Loin de ses peines sur le long du fleuve, il découvrit une chaine de montagne avec plusieurs grottes.

Mais comment donc expliquer autant de grottes dans la même partie de la montagne, pour lui cela était du jamais vue. Aventureux comme pas un, il s’aventura dans l’une d’entre elles, une légère odeur de souffre s’en dégageait mais il ressentait un plus grand danger plus qu’il avançait à l’intérieur, comme observer par quelque chose. C’est probablement là où il du faire demi tour, mais le connaissant que trop bien, il continuer tout de même et se retrouva nez à nez avec un dragon si gigantesque qu’il vacilla sur ses genoux. L’être à la fois le plus intelligent et le plus grand de tous était devant son regard, s’il repartait brusquement il pouvait se faire repérer et si le dragon l’avait remarqué, il était cuit! Quand le dragon remua, le jeune elfe figea sur place quelques instants, de grands yeux verdoyant l’observaient tout en dégageant une vapeur incroyable par ses narines. Quand la chose se mit à parler, le son de la voix rauque et sifflante résonna dans la grotte, ou plutôt une caverne en voyant les dimensions de plus près. Le jeune elfe se releva tranquillement, inclinant son corps par politesse face l’être qu’il venait de déranger.

« Qui est tu jeune elfe, à venir me déranger ainsi? »

Encore ébranlé, l’elfe reconnu que le langage était le sien, ainsi donc il apprit bien rapidement que les dragons pouvaient également parler d’autres langages que le draconique. Mais le jeune elfe avait aucune raison de la déranger, seulement sa curiosité l’avait mené à prendre route dans l’une des grottes qui était occupé sans même qu’il ne le sache.

« Je suis Menelossë Menelmacar, de la tribu des Elfes du Savoir… Recherchant savoir en parcourant les landes de ce monde dans les temps présents et futurs… J’aimerais rester à vos côtés et apprendre de votre si grand peuple si vous me permettez une si grande intrusion dans mode votre vie… »

Le grand dragon ricana un peut, un elfe du savoir ainsi ce qu’il était, le dragon fini par sortir la langue d’entre sa gueule et lécher le visage de se dernier ce qui le fit frissonner. Une chance que les dragons de son espèce ne mangeaient guère de viande sinon l’haleine aurait été des plus putrides de sa vie.

« J’accepte à une seule condition jeune elfe, tu devra choisir l’un des dragonnet de cette portée et l’amener avec toi et vivre avec pour le reste de ta vie… Si tu accepte cette charge, en échange je t’apprendrai comment nous les dragons d’or vivons dans cette contrée aride… »

Abasourdit des dires, l’elfe avait que droit au savoir du dragon, non de la dragonne pour tout dire, s’il acceptait d’élever un… un des rejetons de la dragonne !? Mais quel être sensé refuserait une tel offre, probablement Menelossë justement, qui plus est, les journées seuls seraient comblés avec un dragon en sa compagnie. Mais comment débattre de la chose devant l’imposante dragonne, l’elfe était tellement pensif que la dragonne lui souffla une bouffée d’air chaude dessus pour qu’il reprenne ses sens.

« J’accepte donc la proposition dont vous me faites part… Puis-je connaitre votre nom? »

Si la dragonne pouvait vraiment sourire, elle l’aurait évidemment fait à se moment là. Après tout les dragons d’or étaient de loyaux et bons serviteurs de la justice en amenant châtiment sur les âmes perfides. La dragonne se releva lentement, quelques œufs reposaient sous son ventre où elle souffla du feu sur ces derniers pour les garder au chaud, mais vraiment chaud sans aucun doute.

« Fuunharkaspirinon, rappel t’en maintenant et sache qu’un chemin périlleux t’attend avec moi… »

Après cela, le jeune elfe passa environ deux années complètes en compagnie de la dragonne, celle-ci l’amenait chevaucher sur son dos avec l’aide d’une simple corde en cuir qu’il passait vers le cou afin qu’il puisse se tenir, bien que souvent il finissait dans les airs littéralement il ne devait pas lâcher la corde à moins de tomber. Le jour de l’éclosion arrivait à grand pas aux dires de Fuunurulókë, le surnom qu’il donna à la majestueuse dragonne, qui voulait simplement dire Fuun la Dragonne de Feu. C’est qu’après deux ou trois semaines que les œufs étaient entrain d’éclore sauf un d’entre eux, un œuf à peine plus gros que le reste qui bougeait légèrement à quelques reprise et arrêtait après, répétant cela une bonne cinquantaine de fois de suite sans jamais parvenir à casser l’œuf.

« Ceux qui ne le brise seul, sont voué à mourir ainsi Menel… »

Le jeune elfe étant un peu étonné de la situation, ainsi dont seul ceux apte à survivre vivait.

« Et si je prend cet œuf avec moi ? »

La dragonne le fixa longuement, puis elle prit l’œuf avec une patte elle la glissa entre les bras de Menelossë, avec un geste de tête pointant vers la sortie de l’antre de la dragonne. Son temps avec elle venait de ce terminé aujourd’hui, il aurait aimé rester encore mais il connaissait amplement d’information sur le peuple des dragons maintenant et on lui avait donné également une lourde tâche, s’occuper d’un dragon.

« Il est temps pour toi de partir, si l’œuf n’éclos point, revient me trouver je serai toujours proche… »

L’elfe s’inclina avant de faire demi-tour et partir vers le dehors de la grotte, au même moment, un autre grand dragon d’or venait de se poser tout près, dévisageant l’être qui avait un œuf entre ses bras. Il s’approcha de très près en reniflant l’odeur de l’œuf puis celui de l’homme. Le jeune elfe s’inclina vers le dragon tout en sortant deux mots en draconique.

« Bensvelkear darastrix… »

Le dragon semblait bien plus grand que la dragonne puis il entra dans l’antre de la femelle tout en donnant un petit coup de queue au fessier de Menelossë en passant. On pouvait entendre un léger rire sifflant venir d’entre ses dents. Puis Menelossë reprit encore une fois vers le sud, l’œuf bougeait qu’un peut durant le voyage, beaucoup plus calme qu’au départ. Sortant sa carte, il observa le territoire au nom de Metrona, mais qu’allait-il trouver là bas… Oh oui, sa lui revenait à présent, une contrée d’hommes dragons. C’est ainsi que le désert s’achevait finalement avec l’arriver d’herbes de la savane, s’arrêtant non loin d’un cours d’eau pour y passer la journée.

Toujours près du petit cours d’eau, Menelossë s’installa sur une simple couverture et y posa l’œuf, allant chercher quelques morceaux de bois autour avec un peu de brindilles de foin, il allume un feu en cognant deux pierres ensemble. Puis il reprit l’œuf qui ne semblait pas avoir bougé depuis quelques heures déjà, cognant sur la coquille de l’œuf qui est bien plus dure que bien des métaux connu. L’œuf bougea en retour, donnant des petits coups à son tour contre la paroi intérieur de son œuf. Ainsi donc il avait au moins l’assurance que le dragonnet était bien en vie, mais pourquoi ne sortait-il donc de son œuf? Intriguer, il glissa l’œuf dans le feu directement puisqu’ils étaient habituer d’être en chaleur voir même tel une immunisation.

« Alors petit Lókë, tu ne sort pas de ton œuf ? J’ai bien hâte de voir le bout de son museau… »

Mais l’œuf resta là sans bouger, profitant du fait qu’il était trop bien au chaud probablement. Bien que la chaleur était moins forte et puissante que celle de sa mère déjà assez loin vers le nord. Il fini donc par s’endormir sur sa couverture, ne prenant même pas la peine d’alimenter le feu ou même vérifier l’œuf du dragon… Soudain quelque chose montait le long de sa jambe, clignant des yeux, Menelossë se redressa en fixant sa jambe pour découvrir un petit dragonnet tout doré qui lui montait dessus. Détournant la tête vers l’œuf, il remarqua rapidement qu’il était brisé ! Puis son regard se reposa sur le petit dragonnet encore un peu maladroit, il glissa ses mains sous le petit être et le souleva pour l’amener vers son torse en lui offrant un doux et tendre sourire.

« Le petit Lókë a décidé de me faire une surprise alors… Je m’appel Menelossë… et toi… »

D’un air pensif, il semblait réfléchir sur quel nom cette petite bête toute mignonne pouvait avoir, ou bien mieux lui donner quoi. Puis il pensa aux derniers jours avec l’œuf et les événements qui venait de se passé afin de lui trouver un prénom convenable. Il eu un mince sourire en coin quand le dragon alla lui mordiller la main légèrement. Il fouilla dans une petite poche et sorti une pièce d’or qu’il glissa dans la bouche du jeune dragonnet. Le jeune dragonnet encore tout jeune mâchouilla que légèrement la pièce avant de l’avaler tout rond en reniflant la bourse de l’elfe en tentant de lui prendre.

« Un autre aussi mignon que toi devrais porter le nom de Mórëlenya… sa signifie noirceur des étoiles dans ma langue. »

Le jeune dragonnet fini par s’assoir sur les cuisses de l’elfe, s’enroulant dans une petite boule comme un chat le ferait, mais les yeux du dragon observait encore le visage de l’elfe. Il sorti ensuite une pièce d’argent qu’il glissa une nouvelle fois dans la gueule du dragonnet qui l’avala tout rond, puis il glissa une pièce de cuivre dans son antre dentelée qui disparu dans le trou noir vers l’estomac. Fuun n’avait pas eut tord de dire que les dragons dorés ne mangeait pas de viande, de la roche et des métaux était donc leur aliment principale… L’elfe se recoucha lentement contre le sol en fermant les yeux, caressant lentement le dragon sous le museau tout en le laissant se faire légèrement mordiller les doigts, Menelossë observait le ciel étoilé avec la jeune dragonne à en devenir.

Depuis les années, la dragonne prénommé Mórëlenya en compagnie de l’elfe Menelossë se promenèrent du sud vers le nord du continent. Le jeune dragonnet qu’elle fut était devenu d’une taille respectable, du moins assez pour qu’elle puisse porter Menelossë sur son dos sans trop se plaindre du poids, minime soit-il, de ce dernier. La guerre contre son peuple avait également passé par diverses rumeurs, mais un seul homme changerait-il le destin de toute une nation ? Bien que le souvenir de ses parents devienne de plus en plus lointain, il se devait de continuer son chemin de l’avant comme il en avait convenu à son départ. Mais lorsque les rumeurs des humains parlaient de la chute de son peuple, seule sa compagne d’aventure su comment le soutenir.

Dans les temps de la guerre, longue fut-elle bien évidemment, Menelossë qui avait remonté vers le nord pour aller voir le fameux forgeron avec qui il avait passé quelques temps auparavant. Mais arrivé sur place, il apprit qu’il avait rendu l’âme il y a fort longtemps, et que les générations qu’il avait laissées derrière lui étaient tous forgeron comme Naira le fut. Un sourire éphémère sur le bord des lèvres avec la compagnie de Mórëlenya à ses côtés dans sa forme humaine, bien entendu que les dragons prenaient une forme humanoïde de temps à autre! Observant la fameuse forge qui avait peut changer depuis les quelques siècles déjà passé.

« Mes salutations, je cherche le grand maitre forgeron Naira… Mais je doute qu’il est trépassé depuis les années, vous pourriez savoir s’il n’aurait pas laissé quelque chose pour moi ? »

Une jeune femme l’observait, elle avait certes fière allure mais elle dévisageait l’elfe ainsi que l’accompagnement qui était avec lui, après tout un dragon gardait quelques caractéristiques même sous une autre forme.

« Salutations, je suis Vyrka’Rai, mon grand-père m’a déjà raconté une histoire avec un elfe, disant qu’il reviendrait chercher son dû un jour… C’est peut-être toi dans ce cas, la stature semble aller dans tout les cas… »

Bien entendu la jeune femme observait les allures et la stature de l’elfe, un peut comme un tailleur de vêtement qui mesurait les vêtements à l’œil nus. Puis son visage se posa encore une fois sur la compagne de l’elfe, affichant un petit sourire coquin. Puis elle parti vers l’arrière boutique en leur faisant signe de venir également. Arrivé devant un porte-armure recouvert d’une très vieille couverture de lin, la jeune femme la retire en découvrant une fameuse armure, celle que Menelossë avait dessinée sur le papier des siècles plus tôt.

« C’est bien ce que j’ai dessiné… Je ne pensais point qu’il l’aurait réellement forgé… C’est une merveille sans aucuns doutes.»

La dragonne s’approcha de l’armure, glissant ses doigts légèrement griffu sur l’armure, les runes scintilla à son touché. L’armure semblait avoir aucun signe de détérioration malgré les siècles, probablement les inscriptions runiques qui l’empêchaient d’user par le temps, une armure parfaite pour la vie d’un elfe.

« Elle a été forgé dans les meilleurs minerai de nos contrées, puis les runes ont été inscrites à la main et ma grand-mère les a enchantés. Avant de mourir, il a dit que son propriétaire reviendrait la chercher puisqu…»

Avant qu’elle ne finisse sa phrase, l’elfe coupa les derniers mots de la jeune naars.

« Puisque le temps n’a pas d’importance… seul la vie à de l’importance… »

La dragonne posa son regard verdoyant sur le chevaucheur, pensive tout en observant l’homme qui l’avait éduqué depuis son éclosion, surtout qu’elle l’avait choisi volontairement tout en sachant que sa mère avait mis en charge cet homme d’être avec sa personne. Menelossë fouilla un sac à son dos, sortant une dizaine de grosses écailles de dragon en excellente état, se qui étonna un peut la forgeronne bien évidemment, dire qu’une seule d’entre elles pouvait valoir une petite fortune, une dizaine payerai amplement tout se qu’il voulait quoi.

« Contre l’armure, si vous acceptez de les prendre, je peux comprendre que cela est trop, mais cela est bien peut comme compensation à une tel œuvre…»

L’elfe déposa les écailles entre les mains de la naars, celle-ci cligna un instant des yeux juste en imaginant le nombre d’écus de mithril elle venait de se faire, des centaines assurément. Retirant lentement quelques accoutrement de trop de sur le dos, il enfila ensuite l’armure avec un mince sourire en coin, observant le résultat final au dernier morceau ajusté sur son dos. Quand il eut fini, les marques runiques étincelèrent une nouvelle fois, brulant des marques sur la peau de l’elfe, marques d’appartenance de l’armure, comme quoi personne d’autre ne pourrait la porter…

« Je vais devoir continuer mon chemin, rester ici trop longtemps pourrait être dangereux si la légion passe et puis Mórëlenya aime que très peut les citées, bien qu’elle mangerait bien tout se qui se trouve dans cette forge sans aucun doutes… »

Sur les dernières paroles, la dragonne sous sa forme humanoïde grogne tout de même profondément, elle venait de se faire taquiner tout en rougissant sur les propos de l’elfe. Cela faisait malgré tout longtemps que ses deux là étaient ensemble, bien qu’elle le taquine encore bien plus que le contraire, il ne devait pas perdre ses chances! Ainsi donc, ils repartirent au loin en reprenant une route pas encore tracé, celle des airs et à dos de dragonne…

Chapitre Six


À venir !

Bonjour, et bienvenue (En retard cela dit.).

Ta fiche est bien ordonnée, et de plus ton personnage est en lui même très intéressant. Il te faudra je pense, avoir une grande métrise du langage pour jouer un tel rôle. Chose que tu as pour le moment prouvé.

Bonne écriture.

Va-tu terminé cette fiche?